Rosa Candida
Bonsoir,
Des problèmes de cervicales me tiennent un peu éloignée de mon blog, rien de grave ,mais que c'est pénible. Broder ou faire du patch en ce moment est difficile, alors je lis
Un coup de coeur. Ce livre m'a été prêté par mon amie Michèle. J'ai beaucoup aime.
Le jeune Arnljótur va quitter la maison, son frère jumeau autiste, son vieux père octogénaire, et les paysages crépusculaires de laves couvertes de lichens. Sa mère a eu un accident de voiture. Mourante dans le tas de ferraille, elle a trouvé la force de téléphoner aux siens et de donner quelques tranquilles recommandations à son fils qui aura écouté sans s'en rendre compte les dernières paroles d'une mère adorée. Un lien les unissait : le jardin et la serre où elle cultivait une variété rare de Rosa candida à huit pétales. C'est là qu'Arnljótur aura aimé Anna, une amie d'un ami, un petit bout de nuit, et l'aura mise innocemment enceinte. En route pour une ancienne roseraie du continent, avec dans ses bagages deux ou trois boutures de Rosa candida, Arnljótur part sans le savoir à la rencontre d'Anna et de sa petite fille, là-bas, dans un autre éden, oublié du monde et gardé par un moine cinéphile.
Je vous le conseille vivement.
Là je viens de commencer
"La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry arriva le mardi.."......de Rachel JOYCE. Cette fois ci c'est sur les conseils de Glwadys
Il était juste parti poster une lettre.
Mais c’est mille kilomètres qu’il va parcourir à pied.
Un roman inoubliable qui a conquis le monde entier.
« Je suis en chemin. attends-moi. Je vais te sauver, tu verras. Je vais marcher, et tu vivras. »
Harold Fry est bouleversé par la lettre qu’il reçoit de Queenie Hennessy, une ancienne amie qui lui annonce qu’elle va mourir.
Alors que sa femme, Maureen, s’affaire à l’étage, indifférente à ce qui peut bien arriver à son mari, Harold quitte la maison pour poster sa réponse. Mais il passe devant la boîte aux lettres sans
s’arrêter, continue jusqu’au bureau de poste, sort de la ville et part durant quatre-vingt-sept jours, parcourant plus de mille kilomètres à pied, du sud de l’Angleterre à la frontière écossaise.
Car tout ce qu’Harold sait, c’est qu’il doit continuer à marcher.
Pour Queenie.
Pour son épouse Maureen.
Pour son fils David.
Pour nous tous.
« Dans une langue précise et aérienne, Rachel Joyce conduit Harold des déserts amers du regret vers les hauteurs lumineuses de la rédemption avec une clairvoyance et une émotion presque
insoutenables. » Sunday Times
Je n'ai lu que les deux premiers chapitres , et déjà je n'ai pas envie de poser le livre. Merci beaucoup Gwladys.
Je vous souhaite une excellente nuit. Je vous remercie de vos visites,de vos commentaires qui me donnent envie de continuer.
Je vous embrasse, doux rêves.
MARIE